1994 – AFRIQUE, MON AFRIQUE

Synopsis

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Fiche technique

Titre : Afrique, mon Afrique
Réalisation : Idrissa Ouedraogo
Scénario : Santiago Amigorena et Idrissa Ouedraogo
Photographie : Daniel Barrau
Son : Philippe Sénéchal
Musique : Ismaël Lô et Kangalet
Production : La Sept Arte – Noé Productions
Pays d’origine : Drapeau de la France France
Durée : 53 minutes
Date de sortie : USA – 5 juin 1995

Distribution

Akissi Delta
Ludovick Aka Inza
Ismaël Lô
Assita Ouedraogo
Georgette Paré
Naky Sy Savané

Sélection

Films

1991 – A KARIM NA SALA

Synopsis Karim a 12 ans. Il vit avec sa mère, Aïsha, et son oncle, Issa. Car à la suite de la mystérieuse disparition de son mari, Aïsha a dû se remarier avec cet oncle de Karim, qui est un véritable tyran. Le jeune garçon travaille aux champs et vend des poulets et des calebasses sur les marchés. La vie s’écoule ainsi au quotidien jusqu’au jour où Sala se rend au village de Karim pour y passer les vacances. Sala est une jeune fille de 12 ans qui vit en ville dans un milieu aisé. Malgré leurs différences, malgré leur âge, les deux enfants apprennent à s’aimer.

Fiche technique Réalisation : Idrissa Ouedraogo Production : Arcadia Films, FR3 Cinéma, Les Films du Crépuscule Scénario : Idrissa Ouedraogo Image : Pierre-Laurent Chénieux Musique : Myriam Makeba, Ibrahim Abdoullah, Ramon Cabera Montage : Dominique Martin, Emmanuelle Dahais

Distribution Noufou Ouedraogo Roukiétou Barry Sibidou Ouedraogo Hyppolite Wangrawa Omar Coulibaly

Distinctions

Films

2003 – LA COLERE DES DIEUX

Synopsis

Au milieu du 19ème siècle, à la mort de l’empereur de la Haute Volta (actuel Burkina Faso), les prétendants au trône sont prévenus selon la tradition. Le Prince TANGA organise un coup d’état afin d’accéder au pouvoir. Il prend de force pour femme AWA, une jeune paysanne dont il vient de sauver le village. 9 mois plus tard, un nouveau petit Prince voit le jour. Cette naissance est accompagnée de la pire malédiction que la famille royale ait connue.

Fiche technique

Titre français : La Colère des Dieux

Réalisation : Idrissa Ouedraogo

Scénario : Idrissa Ouedraogo

Production : Nicolas Cand

Photographie : Abraham Haile Biru

Montage : Nicolas Barachin

Mixage : Daniel Sobrino

Pays d’origine : Burkina Faso

Format : Couleurs – 16 mm – Dolby

Genre : drame historique

Durée : 95 minutes

Distribution

Barou Oumar Ouedraogo : Tanga

Rasmané Ouedraogo : Halyaré

Ina Cissé : Awa

Nouss Nabil : Rasmané

Papa Ouedraogo : Salam

Rouketou Barry : Sana

Distinction

Film d’ouverture du FESPACO 2003

Sélection FFM 2003 – Montréal

Sélection FIF 2003 – Amiens

Films

1997 – KINI ET ADAMS

Synopsis

Kini et Adams sont les meilleurs amis du monde et partagent les mêmes rêves. Fuyant la vie rurale, tous deux veulent émigrer vers la ville. Mais il y a un petit problème : ils ont choisi pour le voyage une vieille guimbarde brinquebalante. Les deux amis passent tellement de temps à rire et à bâtir des plans sur la comète qu’ils ne se rendent pas compte que toutes les pièces détachées qu’ils achètent à grands frais embellissent sans doute la carrosserie de la voiture, mais n’améliorent guère ses performances. Lorsque Kini et Adams ont la chance de se voir offrir chacun un emploi stable et un salaire fixe, ils espèrent que leur rêve va enfin se réaliser. Mais leur ambition personnelle entraîne aussi une certaine rivalité. Leur amitié pourra-t-elle y résister ?

Fiche technique

Titre français : Kini et Adams

Réalisation : Idrissa Ouedraogo

Scénario : Santiago Amigorena, Olivier Lorelle et Idrissa Ouedraogo

Direction artistique : Heather Cameron

Costumes : Heeten Bhagat et Funki Loader

Photographie : Jean-Paul Meurisse

Montage : Monica Coleman

Musique : Wally Badarou

Pays d’origine : Burkina Faso

Format : Couleurs – 35 mm – 2,35:1 – Dolby

Genre : drame

Durée : 93 minutes

Dates de sortie : France : 10 mai 1997 (Festival de Cannes 1997), 22 octobre 1997 (sortie nationale)

Distribution

Vusi Kunene : Kini

David Mohloki : Adams

Nthati Moshesh : Aida

John Kani : Ben

Netsayi Chigwendere : Binja

Sibongile Mlambo : Bongi

Simon Shumba : Pedlar

Distinction

Festival de Cannes 1997 : sélection en compétition

Films

1994 – LE CRI DU COEUR

Le Cri du cœur est un film franco-burkinabé réalisé par Idrissa Ouedraogo et sorti en 1995.

Synopsis

Moctar vit en Afrique avec sa mère Saffi, lorsque celle-ci reçoit une lettre de France qui la rend folle de joie : Ibrahim Sow, son mari émigré depuis de nombreuses années, peut maintenant les accueillir. La nouvelle bouleverse l’existence de Moctar. Il va devoir quitter son village, ses amis et surtout son grand-père qu’il sait très malade… Arrivé en France, Moctar commence à voir une hyène qui le hante. Mais devant le caractère irrationnel de ses récits, personne ne le croit. On se moque de lui, pire on s’inquiète pour sa santé mentale. Seul Paulo, un homme de cinquante ans rencontré au hasard de son errance, l’aidera à domestiquer ses peurs et à affronter la hyène.

Fiche technique

Titre : Le Cri du cœur

Réalisation : Idrissa Ouedraogo

Scénario : Jacques Akchoti, Robert Gardner et Idrissa Ouedraogo

Photographie : Jean-Paul Meurisse et Jean Monsigny

Décors : Olivier Paultre et Alain Poirot

Costumes : Brigitte Faur-Perdigou

Son : Dominique Hennequin

Montage : Luc Barnier

Musique : Henri Texier

Production : Centre Européen Cinématographique Rhône-Alpes, Les Films de l’Avenir, Les Films de la Plaine

Distribution : Cinéma Public Films

Pays d’origine : Drapeau du Burkina Faso Burkina Faso – Drapeau de la France France

Durée : 86 minutes

Date de sortie : France – 5 avril 1995

Distribution

Richard Bohringer

Saïd Diarra

Félicité Wouassi

Alex Descas

Clémentine Célarié

Jean-Yves Gautier

Sélection

Mostra de Venise 1994

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Cri_du_c%C5%93ur_(film,_1994)

Films

1992 – SAMBA TRAORE

Samba Traoré est un film dramatique burkinabè réalisé par Idrissa Ouedraogo en 1992.

Le film retrace l’histoire du jeune Bakary Sangaré alias Samba Traoré qui organise une attaque à main armée avec son ami dans une station service de la capitale du Burkina Faso, Ouagadougou.

Synopsis

Un soir la ville de Ouagadougou est troublée par des coups de feu : il y a eu un braquage à Faso Oïl. Un des bandits est abattu, mais le butin est emporté par le second. Les braqueurs sont Samba et son ami. Recherché, Samba quitte la ville et il prend un taxi-brousse pour son village, qui est assez reculé. Les policiers procèdent à l’enquête mais Samba reste introuvable en ville et dans les environs. Samba arrive de la grande ville, les poches remplies d’argent. Très vite le train de vie Samba commence à semer le doute dans le village et dans son entourage. La fortune de Samba est douteuse. Il essaie de se confier à son ami Salif, mais la peur et le doute l’en empêche. Pendant ce temps la police continue leurs investigations mais Samba semble s’être envoler. La situation géographique de son village fait qu’il reste insaisissable pendant plus d’une année. Il se marie à Saratou et ouvre le tout premier bar de son village avec Salif. Samba semble être le symbole du bon fils. Mais les choses se compliquent lorsque sa femme enceinte doit accoucher à la ville. Samba de peur d’être reconnu en ville l’abandonne en cours de route. Son père qui n’avait plus confiance en son fils décide de fouiller sa maison. Il tombe sur la mallette contenant de l’argent et se remémore les evenements de l’année écoulée: les bœufs offerts au village, sa maison, le bar, son train de vie, tout pense à croire à l’origine criminelle de l’argent. Ce dernier met alors le feu à la maison de son fils. Samba se retrouve seul, ses parents le rejettent, son ami et la belle Saratou aussi pour les avoir abandonnés. Prisonnier dans son village où plus personne ne lui adresse la parole. Il subit en avance le châtiment de son peuple avant celui de la justice. Par l’entremise de Binta, son ami et sa femme, les autres lui pardonne. Mais au même moment, en ville, un ex petit ami de Saratou: Ismaël dénonce Samba moyennant une récompense. Les policiers débarquent sous les rôniers, Salif donne l’alerte à Samba. Il s’ensuit une course poursuite. Dans la foulée un des policiers ouvre le feu, Salif touché, tombe. Samba revient sur ses pas pour assister son ami. Menotté, il est emporté dans le pick-up de la police, sous le regard hagard de la foule et de sa famille.

Fiche technique

Titre : Samba Traoré

Réalisation : Idrissa Ouedraogo

Scénario : Idrissa Ouedraogo, Santiago Amigorena et Jacques Arhex

Production : Idrissa Ouedraogo

Société de production : Les films de la plaine, les films de l’avenir, Les films A2 et Waka films

Distribution : New Yorker Films (U.S)

Décors : Yves Brover

Costumes : Oumou Sy

Photographie : Pierre-Laurent Chénieux et Mathieu Vadepied

Montage : Joelle Dufour

Musique : Faton Cahen,Wasis Diop et Lamine Konté

Pays d’origine : Drapeau du Burkina Faso Burkina Faso, Drapeau de la France France et Drapeau de la Suisse Suisse

Langue : Dioula

Sous-titrage : français

Genre : drame

Date de sortie : 1992

Distribution

Bakary Sangaré : Samba Traoré.

Mariam Kaba : Saratou (femme de Samba).

Abdoulaye Komboudri : Salif (ami de Samba).

Irène Tassembedo : Binta (femme de Salif).

Moumouni Campaoré : Ali (fils de Saratou).

Sibidou Ouédraogo: Awa (tante de Saratou).

Hippolyte Wangrawa : Ismaël (ex peti-ami de Saratou).

Mady Dermé : Joseph Traoré (gérant du bar de Samba).

Krin Casimir Traoré : Seydou (père de Samba).

Firmine Coulibaly : Koro (mère de Samba).

Production

Ce long métrage est un défi pour Idrissa Ouedraogo, il choisit de dévoiler l’identité du criminel dès la première séquence. Le téléspectateur devient alors un témoin privilégié avec le réalisateur et son attention se fixe sur le déroulement de l’enquête. L’enquête est menée en parallèle par les villageois mais aussi les policiers. L’auteur rend réaliste son film à travers le choix des acteurs, alliant ainsi le comique avec Abdoulaye Komboudri au tragique lié à Bakary Sangaré.

Tournage

Le réalisateur décide de tourner son film dans sa ville natale Banfora, région des Cascades au Burkina Faso. Il se sert ainsi du décor naturel de la zone (cascades, rôniers) pour donner un film atypique et original pour son époque. Le polar étant assez rare dans la filmographie des années 90. Malgré le peu de ressources, le film est bien reçu au Burkina Faso et à l’international. Le sous-titrage du film a été repris en anglais et en espagnol.

Accueil, Réception critique

Samba Traoré reçoit une critique favorable vis-à-vis du public. Ses œuvres par leurs esthétiques et leurs fondements critiques réalistes constituent un vaste champ d’étude pour les universitaires. Le film fait partie d’un numéro thématique : les médiations culturelles, actes des journées de Lyon3. En 2019 un colloque est organisé en hommage au réalisateur disparu pour revisiter ses œuvres. L’universitaire Hadja Maimouna Niang revient sur l’engagement du réalisateur à défendre certains thèmes qui minent toujours l’Afrique.

Distinctions

Tanit d’Argent aux Journées cinématographiques de Carthage en Tunisie en 1992.

Ours d’argent au Festival international du film de Berlin en Allemagne en 1993.

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Samba_Traor%C3%A9

Films

1990 – TILAÏ

Synopsis Après près de deux ans d’absence, Saga revient dans son village. Son frère Kougri lui apprend alors que leur père a pris comme deuxième femme Nogma qui était pourtant promise à Saga. Celui-ci va alors se retrouver confronté à un dilemme : les traditions ou ses sentiments pour Nogma.

Fiche technique Titre : Tilaï

Réalisation : Idrissa Ouedraogo

Scénario : Idrissa Ouedraogo

Production : Béatrice Korc, Silvia Voser, Idrissa Ouedraogo

Musique : Abdullah Ibrahim

Photographie : Pierre-Laurent Chénieux et Jean Monsigny

Montage : Luc Barnier

Montage Son : Michel Klochendler

Format : Couleur

Genre : drame

Durée : 81 minutes

Date de sortie : 1990

Distribution Rasmané Ouédraogo : Saga

Ina Cissé : Nogma

Roukietou Barry : Kuilga

Assane Ouedraogo : Kougri

Sibidou Sidibe : Poko

Le film

Distinctions

Grand Prix au Festival de Cannes 1990

Etalon d’or de Yennenga 1991

Source : https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Tila%C3%AF&oldid=200697801

Films

1989 – YAABA

Synopsis
Bila, un garçon de 10 ans, et sa cousine Nopoko vivent heureux dans leur village sahélien. Un jour, ils croisent Sana, une vieille femme qui vit à l’écart du village car elle est rejetée par les autres villageois qui la traitent de sorcière. Sana et le jeune Bila se lient d’amitié, et deviennent inséparables.

Fiche technique
Réalisation : Idrissa Ouedraogo

Scénario et dialogues : Idrissa Ouedraogo

Musique : Francis Bebey

Photographie : Matthias Kälin

Costumes : Mariam Sidibé

Montage : Loredana Cristelli

Mixage : Dominique Dalmasso

Production : Freddy Danaes, Idrissa Ouedraogo, Pierre-Alain Meier

Société de production : Arcadia films, Films de l’Avenir (Les), Thelma Film AG

Sociétés de distribution : Christa Saredi, Cinéart-Cinélibre, Pari Films, P.O.M Films

Pays de production : Drapeau du Burkina Faso Burkina Faso

Langue originale : mooré

Genre : Film dramatique

Durée : 90 minutes (1 h 30)

Format : couleur – 1,66:1

Distribution
Fatima Sanga

Noufou Oueadraogo

Roukietou Barry

Rasmané Ouedraogo

Le film
Comme tous les films précédents d’Idrissa Ouedraogo, l’action prend pour décor la région de Ouahigouya au Burkina Faso. Les deux jeunes acteurs sont également originaires de la région. Le film est un rite initiatique1, celui du passage à l’âge adulte pour Bila, il doit tour à tour faire face au rejet et à l’ignorance, faire preuve de courage, de fidélité, et affronter la mort d’un proche.

Parallèlement, le réalisateur met en scène la vie du village et de ses habitants, leurs querelles, leurs lâchetés mais aussi leur courage, leur bonté.

Distinctions

Au FESPACO 1989 :

Prix spécial du jury, Prix du public,

Prix de la meilleure musique,

Sélection à la Quinzaine des réalisateurs au Festival International de Cannes

Prix de la critique internationale

Sortie du film au niveau international (France, Suisse, Italie, Espagne, Etats-Unis, Japon)

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Yaaba_(film)

Films

1986 – YAM DAABO (Le Choix)

Synopsis
L’histoire se passe au Burkina Faso. À Gourga, un village situé aux confins du Sahel, la pauvreté s’intensifie d’année en année. Les habitants doivent faire un choix : soit attendre l’aide internationale, soit se décider à partir vers une région plus riche du Burkina. Salam, un paysan de Gourga, et sa famille choisissent la deuxième solution avec tous les sacrifices que cela implique. Mais une nouvelle vie peut ainsi démarrer. Ils découvrent ce que la faim et la soif leur avaient fait oublier : l’amour, la joie, la haine, la violence.

Fiche technique
Titre : Yam Daabo
Réalisation : Idrissa Ouedraogo
Scénario : Idrissa Ouedraogo
Musique : Francis Bebey
Costume : Mariam Sidibé
Photo : Jean Monsigny
Montage : Arnaud Blin
Producteur : Idrissa Ouedraogo pour Les Films de l’Avenir
Distribution en salles : P.O.M Films
Format : couleur – 1.66:1
Pays : Drapeau du Burkina Faso Burkina Faso
Langue : mooré
Genre : Film dramatique
Durée : 75 minutes (1 h 15)

Distribution
Rasmané Ouedraogo
Aoua Guiraud
Ousmane Sawadogo
Moussa Bologo
Assita Ouedraogo

Le film
Quand on regarde Yam Daabo, on ne peut que faire le lien avec ses premiers films, Poko, les Écuelles et Issa le tisserand. La mise en image et la mise en scène sont similaires. Idrissa Ouedraogo nous plonge avant tout dans un quotidien, tel un cinéaste du cinéma-vérité, un documentariste, il pose sa caméra sur un lieu, des personnes, et nous laisse pénétrer dans leur vie, leur intimité. La trame narrative est volontairement simple comme le choix de cette famille : partir pour espérer mieux vivre.
Même si leur parcours est jalonné de difficultés et de drames, cette famille semble d’une certaine manière retourner à la vie au fur et à mesure qu’elle s’éloigne de son village d’origine. Idrissa Ouedraogo met en scène cette reprise en charge de leur vie, en opposition avec celle des autres villageois restés sur place les yeux fixés sur l’horizon attendant le camion de l’aide internationale qui leur apporte de quoi survivre. La fin du film est, à cet égard, éloquente. Tandis que les uns cultivent leur terre et fêtent la naissance d’un enfant (la vie), les autres, immobiles et silencieux, regardent la piste d’où doit venir le camion d’aide dont ils dépendent pour ne pas mourir, exactement comme au début du film.
Remarques
Le film a été tourné dans la région où a grandi Idrissa Ouedraogo, vers Ouahigouya : dans le village de Youba, à Ouahigouya même, mais également dans une ville plus au sud, Boromo.
On retrouve Rasmané Ouedraogo qui avait déjà joué dans Poko, la première réalisation d’Idrissa Ouedraogo. C’est un des acteurs fétiches du réalisateur, ils tourneront de nombreuses fois ensemble.

Distinctions
En compétition à la 26e Semaine de la Critique durant le Festival de Cannes 1987
Prix Georges Sadoul 1987
FESPACO 1987 : Prix du 7e Art, Prix de la meilleure musique, Prix de l’Unicef, Prix de la ville de Ouagadougou, Prix de l’OCIC (l’Organisation catholique Internationale du Cinéma)
Prix OUA (Tunisie)
Prix du CIERTO
Prix UNESCO
Corride d’Argent au Festival du film de Taormine

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Yam_Daabo

Films